Heures numériques

Dans chaque classe, tous les élèves se sont engagés dans la démarche de recherche pour chaque problème. Dans certaines classes, les recherches se sont effectuées en groupes, dans d'autres les élèves étaient d'abord seuls. Dans les deux cas, la motivation était présente et des élèves qui d'habitude ne s'engagent pas dans une activité l'ont fait.

Des réflexes se sont installés entre le problème 1 du Maître nageur et les problèmes 2, puisque les élèves ont rapidement mobilisé l'outil tableur pour les problèmes ce qui a été plus long à venir avec le problème 1. De même, le passage à la modélisation par la lettre est devenu automatique.

Les élèves de seconde ont pu développer les compétences concernant l’utilisation de la calculatrice lycée avec son mode “Fonction” permettant la visualisation de la courbe et du tableau de valeurs avec un pas de leur choix. L’envie forte de l’utiliser, donnait du sens au passage par la modélisation et la nécessité d’introduire une variable.

Les prestations orales de qualité sont ensuite venues concrétiser leur travail. La restitution des vidéos des classes de 2nd pour les 3e et réciproquement ont permis une remédiation en groupe classe et l'explicitation des attendus pour l'oral du DNB en 3e.

Les élèves de Seconde apparaissant dans les vidéos ont demandé à voir leur prestation. Ils souhaitaient améliorer leur diction, détecter des tics ou expressions ou gestes parasites. Ils ne sont pas tous à l’aise à l’oral, ont plusieurs présentations à faire dans différentes matières cette année et voient le grand oral de Terminale arriver vite. Ils sont donc demandeurs d’entrainements.

Le projet a d’abord débuté en classe entière pour laisser seulement les élèves volontaires continuer le projet. Les séances en classe entières ont permis aux élèves d’appréhender la programmation avec un objectif final décomposé en sous-objectifs. Les élèves ont donc programmé dans leur totalité la partie addition en respectant le cahier des charges. D’abord, ils ont dû modifier un script donné puis construire un script avec les blocs déjà donnés et enfin coder à partir de rien.

Les élèves ont donc dû trouver la nécessité d’utiliser une variable. Ensuite un automatisme s’est créé chez les élèves volontaires pour trouver les scripts des autres objectifs. On a donc observé que les élèves arrivaient plus facilement à coder ce qu’ils avaient envie de coder sans notre aide. Ils ont donc gagné en autonomie et en motivation.

Des automatismes de programmation son apparus : utilisation de la variable, l'initialisation de la variable. Utilisation de boucles et de test automatisés face à un problème à résoudre (compétence chercher développée chez les élèves consistant à décomposer en sous-problème un problème donné).

Les commentaires laissés aux autres codeurs ont globalement permis de reprendre la programmation plus rapidement puisqu’ils servaient à décrire ce qui a été fait et ce qu’ils voulaient faire ou faire faire aux autres.

• Les élèves se mettent au travailde manière autonome et sont plus actifs que sur un cours classique.
• Mise au travail plus rapideet  persévérance accrue.
• Les élèves travaillent enfonction de leurs difficultés (zone proximale de développement).
• Une entraide sur certainsexercices avec les camarades.
• Développement de l'autonomie detravail.
• La gestion des codes informatiqueest compliquée pour les élèves et la mise en activité est longue lorsqu'ils'écoule du temps entre 2 sessions.
• Une motivation accrue auprès desélèves car ils peuvent choisir l'ordre des exercices (autonomie), le refaires'ils le souhaitent pour faire progresser leur taux de réussite.

Les élèves ont globalement progressé dans les domaines suivants :

- au niveau des compétences orales (référentiel de français + référentiel transversal) : savoir s’exprimer clairement, organiser ses propos…

- Beaucoup ont pris de l'assurance à l’oral (la participation orale en classe et les activités d'oral en général sont mieux réussies; ils ont pris l'habitude de s'exprimer, de développer un point de vue; les élèves qui ont présenté et expliqué à d'autres classes leur questionnaire en vue d'un sondage sont plus à l'aise lorsqu'il faut s'adresser à un public non choisi.)

- Les savoirs fondamentaux en français et en mathématiques ont été travaillés : calculs mentaux, proportionnalité; types et formes de phrases,  .

- La compétence "Travailler en équipe" (Coopérer au sein de son groupe; s’investir et s’approprier un projet ; donner son point de vue tout en respectant celui des autres membres du groupe ; respecter une consigne, gérer le temps imparti…)  est très importante dans notre référentiel et les élèves ont clairement progressé tout au long du projet : ils ont dû apprendre à se mettre d'accord, à accepter les idées et opinions des autres...

- Les recherches en salle informatique, au CDI puis l'utilisation de la salle radio ont permis de découvrir l’univers de la radio et de se familiariser avec l'éducation aux médias et à l’information. (Vérification d'une source, d'une information avant de la diffuser/divulguer, faire preuve de discernement, découverte de sites comme www.hoaxbuster.com qui recense les principaux canulars du web...)

• En 6e : 

        ◦ Nous avons pu constater que l’utilisation du site code.org avait été utile pour l’apprentissage des élèves. Dès les premières activités sur Scratch, les élèves maîtrisaient correctement les bases de l’algorithmie. De plus, certains élèves ont demandé de refaire des activités sur ce site (ce que certains ont pu faire en autonomie sur tablette pendant les cours de maths) ce qui nous permet de valider la création de motivation pour ce domaine.

        ◦ De même, la création de mini-scène a permis aux élèves de prendre en main le logiciel Scratch de façon ludique. Cela a facilité leur apprentissage futur car ils ont facilement appris l’utilisation des menus et des possibilités qu’offre le logiciel Scratch.

          De plus, certains élèves ont demandé et pu aller plus loin sur ce thème lors de vie de classe. Le lien avec le projet « ma classe fait son cinéma » a grandement motivé les élèves à découvrir et travailler sur Scratch.

        ◦ Ces premières activités ont permis d’aborder avec de bonnes bases et une grande motivation les autres séances sur Scratch. Cela  a permis à la grande majorité des élèves d’acquérir les connaissances de 6e. 

• En 5e : 

        ◦ La création d’un jeu visant à faire réviser les tables de multiplications a permis de reprendre les bases de programmation vues en 6e et d’utiliser la notion de variables vue préalablement dans l’année de façon ludique. Ce projet a permis aussi d’aborder la notion d’instructions conditionnelles.

          Cependant, quelques élèves ont été en difficultés sur l’utilisation des différentes instructions et se sont démobilisés. Ce projet était pourtant accessible à tous les élèves du fait qu’il n’y avait pas de notions mathématiques complexes associées.

• En 4e et 3e : 

        ◦ L’utilisation du site « algorea serious game » a permis de réactiver les connaissances algorithmiques des élèves. Ils ont abordé ces activités sereinement : le site propose une difficulté croissante et des activités ludiques.

        ◦ Cependant, dès que nous sommes passés sur le logiciel Scratch, une partie importante des élèves se sont démotivés. Ils semblaient en grande difficulté dans l’utilisation du logiciel et ne faisaient pas le lien avec ce qui a été travaillé sur le site « algorea serious game ». Par conséquent, ils ne parvenaient pas à entrer dans l’activité et ne faisaient que peu d’efforts. Même les activités plus ludiques n’étaient faites qu’à contre-cœur, sans motivation.

          Lorsque nous proposions des activités en lien avec les notions mathématiques, certains élèves qui étaient motivés sur ces notions mathématiques semblaient se bloquer face à la programmation.

          Nous espérons pouvoir faire un constat différent lorsque la cohorte d’élèves de 6e arriveront dans les classes supérieures.

        ◦ Nous sommes sur le point de débuter le projet de programmation d’un jeu vidéo : Pong. Nous ne sommes donc pas en mesure de mesurer les effets de ce travail.

- Un bon dynamisme de la classe, des groupes contents de travailler à leur rythme. 

- Une grande liberté dans le choix des sujets : les élèves ont été un peu étonnés audébut mais ils se sont majoritairement emparés de cet espace d’expression et ontpu utiliser les éléments de leur quotidien, ou de l’environnement grenobloiscomme la Foire des Rameaux.

- L’appropriation de l’activité est progressive mais nous avons constaté que lesélèves ont fait des essais, ils ont comparé et amélioré, en résumé, ils ont cherché àobtenir un vrai résultat. 

- Nous pensons que les compétences numériques de nos élèves ont nettementprogressé : ils sont plus à l’aise et abordent les autres projets en étant davantageautonomes.- Cet exercice a permis aux élèves d’échanger au sujet de leur quotidien : demanière étonnante, des élèves qui pensaient bien se connaître ont découvert queleur ami(e) avait un chat, un chien, pratiquait tel ou tel sport … Ils sontspontanément allés écouter les prises son de leurs camarades, et ont montrébeaucoup de bienveillance dans leurs remarques.

L’autonomiedes élèves a été surprenante en particulier durant la séance collaborative "la fourmillière" : trèsvite, ils se sont emparés des différentes missions, se sontorganisés dans la collaboration au sein de chaque groupe. Leséchanges lors des différentes phases de correction et de révisionont été riches : certains s’agaçaient du manque de clartédu locuteur ; ce qui ne les avait pas du tout dérangés lors dela rencontre avec le retraité en décembre.

Suite à une enquête construite avec une échelle de Likert, 37 élèves sur 41 déclarent avoir acquis des connaissances sur la syntaxe du français parlé, 31 sur 41 jugent que la modalité collaborative  les a aidés lors du travail de révision des textes et 34 élèves sur 41 jugent intéressant l'usage d'un correcteur orthographique en ligne. La mesure d'éventuels progrès sur l'acquisition de la syntaxe à l'écrit s'avère plus pondérée : 30 élèves répondent "oui" tandis que 11 estiment que "plutôt non".

Les élèves ont progressé sur la maitrise des outils numériques : synthèse vocale, utilisation d'un éditeur de textes collaboratifs, utilisation d'un correcteur d'orthographe en ligne. Ces outils pourront être facilement réinvestis en classe et dans le travail personnel des élèves.

Concernant la prise de conscience des particularités de la syntaxe à l'oral comme à l'écrit, les élèves ont identifié les caractéristiques de chaque mode de communication. La notion d'acceptabilité de la langue, du respect des normes attendus sensibilise les élèves sur leurs productions écrites et orales à venir.

Les élèves ont appris à utiliser leur smartphone, leurs applications pour enregistrer des audios, des vidéos et les transférer aux professeurs. Ils ont découvert de nouveaux outils pour le transfert, pour le partage de documents et pour le travail collaboratif. Ils ont été sensibles à la notion de RGPD.

Le numérique leur a permis de travailler individuellement leurs compétences orales, d'être rassurés sur leur capacité à mettre en voix un texte, à rédiger des écrits pertinents. Pour des élèves discrets, timides, le passage par le numérique est une première étape avant un discours devant un public réduit, puis la classe.

Le numérique leur a aussi permis de répartir les tâches et de travailler de manière plus efficace grâce au mur collaboratif. Des élèves avec des difficultés ont pu apporter leur aide dans les temps de recherches et mises en commun, et enrichir leur propre travail argumentatif.

Les effets observés sur les apprentissages des élèves sont multiples : Tout d'abord, j'ai pu voir évoluer leur pratique de l'outil numérique , notamment par la mise en place d'applications comme BDNF qui nécessitait un véritable accompagnement de la part de l'enseignant. Ensuite, par cette pratique régulière de l'outil numérique c’est une réflexion progressive sur l'épreuve certificative du DNB qui s'est mise en place. En effet, les dispositifs menés, assez variés, auront permis une conscientisation sur les compétences ou objets enseignés de l'oral : l'importance d'une disposinibilité corporelle dans le cadre d'une prise de parole, la modulation de la voix, le regard adressé, les gestes dans la prise de parole ou encore le fait de faire preuve d’une relative liberté dans sa prise de parole par rapport à ses notes de préparation.  Enfin, s'enregistrer aussi dans le cadre de ses écrits personnels aura été bénéfique puisque les élèves ont peu à peu changé leur rapport à l'oralité. De plus, avoir la possibilité d'entendre ou de lire un témoignage d'un ancien élève, cela était réconfortant pour eux ; cela dédramatisait le passage à l'oral. L'élève se sentait ainsi plus proche de son interlocuteur.

investissement de tous les élèves.

• Progression en compétences orales : Améliorationde la lecture oralisée, Amélioration de l’élocution (fluidité de lecture,mémorisation, intonation, liaisons, articulation)
• Acceptation et enrôlement facilitédans la tâche en vue de partager un projet, l'améliorer, se faire aider par sespairs
• Regard critique sur sa productiond'écrit et amélioration de sa production Écoute critique des lectures à voixhaute
• Attitude coopérative chez les élèves
• Travail collaboratif de mise en voixet de création sonore
• Découverte de textes du patrimoine
• Lien avec l’EMI (notion de respect dudroit d’auteur)

Les élèves deviennent acteurs du projet en étant force de proposition pour l'alimenter.

Les interactions entre pairs se sont développées et enrichies autour de leurs écoutes d'albums. Ils échangent entre eux pour se donner envie d'aller lire certains albums. Cela entraîne les petits lecteurs à lire davantage.

Le travail autour de la mise en voix du texte (intonation, élocution...) a fait prendre conscience aux élèves des enjeux de l'oral pour être entendu et compris. Le groupe classe étant porté par le projet, la cohésion de groupe a permis un regard entre les élèves pour améliorer les compétences de l'oral dans la bienveillance.

Les outils numériques ont donné la possibilité à tous les élèves de prendre conscience de leurs compétences de lecteurs. Ce projet a permis à tous les élèves (y compris non-lecteurs) de découvrir le plaisir de lire. 

Les élèves ont pu, grâce au numérique, commenter leurs productions, observer celles des pairs et mesurer leurs progrès.  Cela a également développé l'auto-évaluation chez les élèves.

Le premier effet constaté est la dévolution importante lors desdifférentes phases d’apprentissage. L’engagement des élèvesdans le projet que ce soit dans la relation avec les auteurs, dans laproduction d’écrit et la création des animations avec scratch aété très important.

Les élèves ontmaîtrisé les défis préparatoires avec aisance. Ces défispermettaient de découvrir certains blocs de programmation quidevaient leur permettre de créer leurs propres animations. Certainsgroupes sont allés au-delà des blocs utilisés dans les défis. Ilsont testé eux-mêmes sans concertation avec les enseignants des blocsprésents dans l’application qui n’avaient pas été présentés.En tâtonnant, en se trompant, en se corrigeant, ils ont réussi àintégrer ces blocs dans leurs animations de façon originale etpertinente. Ils se sont totalement appropriés le principe deprogrammation par blocs, faisant preuve de créativité dans unedémarche de recherche par essais-erreurs, en maîtrisant lescontraintes spatio-temporelles liées à la mise en scène deplusieurs personnages dans plusieurs lieux.

Un aller-retour« inattendu » entre la production d’écrit etl’animation s’est opéré dans certains groupes. La productiond’écrit initiale a déclenché bien évidemment la mise en scènedes personnages dans Scratch, mais la mise en mot desdialogues, les différentes possibilités d’animation despersonnages et les débats au sein des groupes qui en ont découlé,ont enrichi le récit initial en donnant plus de relief et decaractères aux personnages.

Le podcast est d'abord un support intéressant pour les productions écrites car le passage par l’oral, l’enregistrement puis par l’écoute, aide à travailler son texte, à clarifier ses idées, à revenir sur sa syntaxe. Les productions écrites ont ici vocation à être écoutées par quelqu’un. En donnant ainsi une finalité à leurs productions, on propose aux élèves un nouveau cadre qui les pousse à être plus attentifs et plus sensibles à la manière dont ils rédigent des textes. 

L'enregistrement sonore permet également de gagner en confiance à l'oral de part le travail de mise en voix sur divers textes narratifs. Ce travail passe une réflexion plus aboutie sur le rythme de la lecture, les intonations et les variations de la voix. Si cela est intimidant de s'entendre dans les enregistrements au début, la répétition de l'exercice décomplexe peu à peu le lecteur qui s'habitue à lire pour être écouté par de nombreuses personnes.

- Favoriser l'engagement de l'élève dans la production d'écrit à travers un projet motivant.

- Apprendre à revenir sur une production et à y apporter des modifications.

- Rendre visible les progrès des élèves à l'oral à travers l'utilisation d'enregistreurs numériques.

- Favoriser l'expression oral et mieux comprendre les enjeux d'une situation de communication.

- Comprendre le lien écrit/oral et les intentions que l'on souhaite transmettre son auditoire.

La webradio ayant ouvert ses locaux et sa diffusion en Avril 2023, un premier temps de formation est proposé au plan de formation afin de permettre aux enseignants formés de mener un projet de podcast en classe dès la rentrée 2023-2024. 

constat: Les élèves sont des consommateurs de numérique
effet : En leur faisant créer une interface utilisateur, ils prennent conscience que derrière le programme il y a un humain qui fait des choix de programmation. (50% des élèves déclaraient à la fin du projet avoir installé Scratch chez eux.)

constat : Les propriétés des figures géométriques sont mal connues
effet : La création de boucles, la valeur de l'angle mettent en avant les propriétés des polygones car la moindre erreur est sanctionnée par un tracé faux.

constat : La géométrie est parfois compliquée pour les élèves à besoins particuliers
effet: La programmation permet des essais-erreurs, des tracés multiples, changer un paramètre devient plus simple et chaque élève voit son travail récompensé sur le projet final

• Le premier effet observableest la motivation suscitée par l'outil numérique. Tous les élèvesontmontré un vif intérêt pour ces ateliers.
• La coopération entre élèvesétait réelle : chaque élève travaillait sur son propre poste,mais tous échangeaient et développaient l'entraide.
• Les animations et lesfeed-back instantanés pourchaque tentative ontpermis aux élèves de comprendresur leurs erreurs et de s'autocorriger dans lestentatives suivantes.
• Avec les exercicesd’entraînement individualisés, chaque élève aprogressé à son rythme. Les élèves se sontbien approprié l’application, certains poursuivant même leursentraînements à la maison.

Projet fédérateur.

Les élèves se sont emparés des différents objets numériques  qu'ils utilisent en autonomie.

Des élèves impliqués, notamment les petits parleurs qui ont pleinement participé à l'enregistrement des devinettes et des consignes.

En parallèle, le lexique des animaux et la structure de la devinettes est réinvesti avec le tableau bavard et des Learning apps

Les élèves ont compris l'importance d'articuler et du silence pendant les moments d'enregistrements.

Tous ces ateliers permettent aux élèves de s’initier aux outilsnumériques (tablettes et PC) et de développer des compétences dansce domaine.

Les ateliersnumériques suscitent de la curiosité, de l’intérêt et de lamotivation pour apprendre de nouveaux mots de vocabulaire.

Ils permettent demettre en place des situations de collaboration et d’entraide pourstimuler les élèves dont les capacités mnésiques sont moindre etcontribuent à renforcer la confiance en soi.

Ils permettentégalement l’évaluation positive via l’ENT en permettant auxparents d’écouter les meilleures productions orales de leur enfantà différents moments de l’année. Quoi de plus motivant pour unélève que de voir ses parents s’intéresser au travail fait àl’école.

Les effets observés sur les apprentissages des élèves:

- Rend les élèves acteurs de leurs apprentissages 

- Donne plus de sens au lire-écrire, au lien mot/ phonème, à la phrase.

- Permet aux élèves de s'engager dans la production d'écrit et d'un type de texte 

- développe l'entraide et l'engagement des élèves : l'atelier est en binôme 

- développe l'autonomie et l'aisance avec l'outil informatique: les élèves ouvrent le jeu et choisissent un jeu en toute autonomie

- fais prendre conscience de l'esthétisme du texte: les élèves personnalisent leur texte sur digicard.

Tout au long des séances mises en œuvre, les élèves ont pu progresser grâce à des contenus adaptés à leurs besoins. Ils ont pu recevoir de nombreux feedbacks relatifs à leurs réussites et/ou difficultés.

L'autonomie, l'attention, l'implication de la part des élèves se sont développées. 

Le logiciel Elargir a permis également de développer la coopération entre élèves.

L'utilisation des outils numériques a donc facilité les apprentissages en renforçant l'acquisition des compétences grâce à un engagement, une concentration et une prise de confiance accrus. 

Les élèves, s'ils ont été immédiatement sensibles aux effets de la lecture offerte par des pairs, ont été très surpris par les effets de leurs propres enregistrements.

Tous avaient l'impression de bien articuler, de lire assez lentement et de faire passer des émotions mais en s'écoutant eux-mêmes, ils ont pris conscience des défauts de leurs lectures et de là, ont pu travailler à l'amélioration des compétences en jeu. L'utilisation des tablettes a permis à chacun de s'auto-évaluer et de suivre ses progrès semaine après semaine, en faisant le lien entre les entraînements en ateliers et les phases d'enregistrements.

La motivation a été augmentée par l'utilisation de l'enregistreur et des casques.

Enfin, l'utilisation des tablettes et des casques a aider les élèves à développer leur autonomie dans cet apprentissage.

Le projet participe à l'amélioration de :

- la confiance en soi et l'estime de soi
- l'aisance à l'oral
- la bienveillance envers l'autre
- une meilleure analyse des informations numériques.
- à l'amélioration de la production écrite : tous les élèves veillent maintenantà ce que leur information ou ce qu’ils veulent dire soit compris pas tous, etapprendre à écrire « comme on parle ».
-  aux progrès enfluence (passage de 113 mots à 135 mots en moyenne pour la classe des CM2).
- au travail derecherche sur différents supports (articles de journaux, site internet,émission de radio, etc)
- au travaild’équipe et organiser par les élèves quasiment en totalité : meilleurcohésion du groupe et climat de classe plus serein.

Les élèves, ayant travaillé sur la conjugaison avec des outils "traditionnels" les années précédentes, se sont vus proposer de la travailler autrement, en inventant eux-mêmes des exercices, c'est-à-dire en transposant leurs connaissances à des situations de réflexions dont ils seraient les auteurs, au lieu d'être les "consommateurs passifs".

Un facteur de motivation supplémentaire étant que les exercices créés allaient être proposés aux autres élèves de la classe (chaque binôme étant tour à tour créateur/"joueur"), voire de l'école.

Cela a visiblement permis de valoriser et d'ancrer leurs connaissances, tout en donnant du sens à leurs apprentissages selon le processus de métacognition. Les élèves devaient concevoir eux-même les consignes des exercices et expliciter les compétences pédagogiques en jeu, ce qui a contribué à un ancrage renforcé des apprentissages.

Pour les élèves les plus en difficulté, le travail en binômes a permis une démarche dynamique d'échanges, consolidant les connaissances et permettant l'acquisition de nouvelles.

• Tous les enfants ont pu participer : même les élèves non parleurs, ont pu participer au bruitage sur la bande son.
• Les élèves ont été très actifs. Ce projet a permis de donner du sens aux apprentissages : un projet source de plaisirs et de motivation.
• Amélioration de la syntaxe pour tous même si les phrases sont courtes. Pour les élèves en grande difficulté sujet/verbe et présence des articles devant les noms.
• Un travail de réécoutes et de réenregistrements successifs des productions qui a permis aux enfants de mesurer leurs progrès.
• Favoriser la créativité, l'imagination et l'expression de soi.
• Les enfants ont développé leur langage de manière naturelle et spontanée.

La problématique de départ était de savoir si la bande dessinée pouvait aider les élèves à progresser en français. Ce fut le cas lors de ce projet. En effet, en terme de production, une nette amélioration a été constatée en ce qui concerne la longueur de leurs écrits ; les récits sont plus longs, plus aboutis. Il faut toutefois nuancer cela par le fait que la structure générale de l'histoire avait été élaborée ensemble. Les élèves qui avaient pu être en manque d'inspiration l'étaient par une trop grande liberté donnée. L'ajout de contraintes (situation initiale imposée, personnages récurents, thème, etc...) a permis de les aider à surmonter cet écueil. 

D'un point de vue de la correction syntaxique de leurs phrases, un des problèmes relevé était essentiellement le trop grand nombre de répétitions et la correction orthographique. Ces problèmes furent grandement améliorés lors du deuxième jet.. On notera là aussi une progression dans les comportements de relecture notamment grâce à l'introduction d'un outil numérique, le clavier Métallo : les élèves ont relu attentivement leur texte et ont travaillé à son amélioration. L'utilisation de phrases complexes fut également beaucoup plus fréquente que dans les premières activités d'écriture, où les phrases de type « sujet-verbe-complément » étaient la règle. Par contre, en ce qui concerne les mots de liaison, les progrès sont très relatifs. Ce point reste encore à travailler et l'utilisation du « et » est souvent abusive.

En lecture, les résultats sont sans appel ! La participation à ce projet a été au delà de nos espérances. Les élèves ont lu avec plaisir, utilisant les moindres minutes de libres à cette activité (que ce soit la production de leur planches, la lecture de celles de leurs camarades ou des BD de la bibliothèque de classe.

La prédiction vocale permet de réduire les fautes d'orthographe et facilite le travail d'écriture. La synthèse vocale rend la lecture plus facile et plus rapide. La vidéo suivie d'un quizz relance l'attention en classe, renforce la narration et donne une approche globale du sujet. 

Ces aides permettent la personnalisation des adaptations, elles développent la confiance en soi et le travail en autonomie.

- Une implication plus importante grâce à la mise en projet et la découverte de nouveautés hors les murs.

- Une relation plus apaisée et positive entre élèves et enseignants qui se ressent sur les apprentissages disciplinaires.

- Un engagement personnel sur les questions du parcours d'orientation de chacun.

Réalisation des activités quasi autonome et rapide.
Ancrage par répétition des exercices bénéfique.
Sentiment de meilleure considération de la part des élèves.

- Un gain indéniable d’autonomie chez certains élèves

- Plus de disponibilité chez l'enseignant qui peut ainsi s’occuper plus particulièrement des élèves en difficulté pendant que les autres travaillent de façon autonome sur des documents plus difficiles

- Chacun a pu travailler à son niveau et n’a pas dû attendre que tout le monde termine ou comprenne ou recopie. Les élèves très performants et très autonomes se sont sentis vraiment mis en valeur pendant la séquence et ont pu « manger à leur faim »

- Possibilité d’approfondir davantage les apports linguistiques et culturels de chaque document : chaque élève a pu écouter/lire les documents à son rythme et avec un but précis qu’il/elle avait décidé au préalable, ce qui leur a permis de bien comprendre l’essentiel de chaque document et de pouvoir produire des expressions orales cohérentes et en adéquation avec leurs capacités

Les élèves qui consultent de manière active les ressources numériques ont de meilleurs résultats aux tests de connaissances. 

Les élèves apprennent leur cours plus régulièrement grâce à des flashcards (accessibles sur moodle) ou à des exercices de mémorisation (accessibles sur moodle)

Positifs

• Plaisir d’apprendre sous forme de jeu

• Investissement dans l’élaboration de fiches de mémorisation

• Amélioration de la mémorisation grâce aux quiz à condition qu’ils soient utilisés de manière régulièrement espacée dans le temps. 

• Réactivation des connaissances par des quiz utilisés en début de séance. 

• Relance de l’engagement et l’attention pour des élèves qui n’avancent pas tous au même rythme (quiz et flashcard)

Négatifs

• Problème de l'essoufflement dans le temps

• Peu d’élèves poursuivent le travail de création des flashcards et d’utilisation des quiz à la maison

• Les applications bien que ludiques ne sont pas ou peu utilisées par les élèves les plus fragiles et éloignés des codes de l’école.

• En classe, besoin de connexion 4G ou wifi

L’usage de la tablette est bénéfique sur plusieurs plans :

- les élèves développent des compétences linguistiques et numériques plus rapidement

- la motivation des élèves est renforcée et maintenue tout au long de la séquence

- les élèves deviennentautonomes et osent davantage se confronter à la difficulté

- la mise au travail desélèves est plus rapide

• Être capable de s'auto-évaluer
• Prendre en compte les conseils fournis dans les copies corrigées
• Progresser sur un point précis
• Les évaluations sur 2 devoirs successifs montrent que les élèves ont en général pu progresser sur l'objectif visé : ils obtiennent de meilleurs résultats sur la compétence mise en place dans le 4ème exercice individualisé (par rapport aux résultats obtenus dans l'exercice du précédent devoir correspondant à leur objectif).
• Ils sont placés dans une situation où ils analysent également les erreurs commises lors du précédent devoir, sans se soucier seulement du résultat. Nos élèves ne le font jamais sinon.
• Ils ont acquis de nouvelles méthodes de travail, mises en place à travers ce feedback.

Bon investissement des élèves par l'approche ludique et l'enjeu de gagner et de jouer avec d'autres classes.

L'apprentissage du vocabulaire est  facilité par la motivation et les outils proposés.

L'ensemble des élèves de classe unique (GS au CM2) est mobilisé sur une activité commune avec la mise en place de tutorats entre pairs.

Cf la vidéo ci-dessous

Les élèves ont montré une motivation toute particulière lors des séances proposées. 

La mise en jeu avec devinettes en groupe classe et la consolidation via les jeux numériques et imprimables ont grandement facilité l’entrée en interaction pour des élèves, notamment ceux qui d’ordinaire sont plutôt réservés.  

La mémorisation du lexique a été renforcée par la confrontation régulière et variée des mots. 

La production de phrases en autonomie pour les élèves de GS est une activité qui a été réussie par tous grâce à l’imprégnation et la compréhension optimisée du lexique utilisé.

- Investissement des élèves dans le cadre d'un projet donnant du sens à leurs apprentissages.
- Attention particulière à la fluence et à la diction.
- Intérêt pour la compréhension d'un sujet : les élèves sont moins passifs et cherchent à produire un écrit intéressant pour pouvoir l'enregistrer.
- Regard critique sur sa production d'écrit et amélioration de sa production dans le but de l'oraliser.
- Intérêt pour la fabrication numérique du projet.

Lesapprentissages de production d’écriture sont accessibles à tous,élèves à besoins particuliers, endifficultés scolaires et élèvesULIS. Tous s’engagent,tous verbalisent, tousécrivent.

L’ipadfavorise l’engagement et la motivation des élèves dans les tâchesd’écriture. L’utilisation de la synthèsevocale (« énoncer ») permet à l’élève d’écouterson écrit, de s’autoévaluer et de l’améliorer : lefeedback est immédiat.

Lesfonctions éxécutives sont travaillées sur le long terme du fait duprojet de classeen lien avec le vivre-ensemble .

Lelien Oral/Ecrit est explicite et compréhensible des élèves puisqueque le lien avec le réel est mis en œuvre au travers du vécu desélèves. Les élèves vivent des expériences, des projets et lesmettent en mots. Rédiger sur leurs apprentissages leur permet uneprise de conscience des enjeux des tâches scolaires,ils donnent ainsi plus de sens à l’école.

Lescompétences d’écriture des élèves et celles de l’utilisationde l’outil ipad au service d’une production d’écrit cohérente,riche et explicite sont travaillées via les fonctions « dicter »et « énoncer ». L’utilisation d’un outil numérique,ipad, en classe et au quotidien devient rapidementfluide et accessible à tous les élèves.

Sesentir bien en classe, coopérer, vivre ensemble pour une inclusion réussie etune accessibilité réelle des apprentissages est un des effetsmajeurs observés.

Les élèves ont très vite été capables d'être autonomes dans l'utilisation de l'application BookCreator (utilisée dans sa version en ligne, sur PC). La mise en valeur d'un rendu écrit de classe (notamment par le jeu de la mise en page et de l'illustration) les a suffisamment motivé pour que leur engagement soit palpable. Ce contexte a permis de valoriser et de donner du sens au travail de production d'écrit qui leur était demandé.

Le choix a été fait de faire travailler les élèves en binômes. Cela a permis un travail collaboratif où la validation par les pairs renforçait la motivation et assurait une relecture performante des écrits.

Enfin, les élèves, en devant oraliser leur travail écrit, ont pu prendre conscience des compétences à mettre en œuvre pour une bonne lecture à haute voix, notamment de l'importance d'avoir un discours clair - en particulier pour des "petits parleurs".

- Travailler en salle informatique permet d’observer chez un grand nombre d’élèves plus d’intérêt, de concentration et de motivation que dans une salle de classe traditionnelle

- Les élèves à l'aise avec l'outil numérique (dictionnaire en ligne, traitement de texte, etc) sont en mesure d'aider leurs camarades plus en difficulté. Cela permet de développer la compétence de médiation et augmente la cohésion de groupe

Une prise de confiance qui pousse les élèves à s’impliquer davantage, non seulement au sein d'un petit groupe mais également dans le cours d’anglais  quand ils sont en inclusion dans une classe

- Tous les élèves sont impliqués et actifs car tous doivent prendre laparole et s'enregistrer sur Pearltrees

- Les élèves perdent moins de temps grâce au suivi de l'enseignant etarrivent plus rapidement à l'objectif visé

- Le travail de groupe s'organise plus efficacement et cette façon defonctionner est souvent spontanément transférée par un bon nombre d'élèves pourd'autres matières également

- La fonction enregistrement de Pearltrees permet de travailler laremédiation et permet un meilleur travail sur l'oral, la prononciation et lafluidité langagière

- Le recours à l'outil numérique amène un questionnement chez les élèves sur le respect dela vie privée et la visibilité des travaux dans l'espace public

- Les élèves avancent à leur rythme : les élèves les plus rapides ont accès à des ressources supplémentaires, les élèves les moins rapides bénéficient de plus de temps et de plus d'entrainement

- L'engagement et l'attention des élèves sont plus soutenus

- Développement de l'entraide : de nouveaux rôles apparaissent dans la classe ; certains élèves deviennent les experts du jour et sont en appui pour relayer l'enseignant et aider leurs camarades

Les mini-jeux auto-correctifs permettent aux élèves de :

- revoiret manipuler les notions du chapitre : réviser, faire lepoint sur leurs difficultés, sans avoir peur des mauvaises notes

- mémoriser: les jeux se faisant en cours, directement après les activités en classe, ilspermettent une meilleure mémorisation du vocabulaire et des concepts

- coopérer : les jeux sont pensés comme un travail individuel mais de nombreux élèves préfèrent les réaliser ensemble, ce qui amène de la coopération, de l'entraide et dela cohésion au sein de la classe

- apprendrede manière ludique : ces activités courtes et imagées permettentun temps pour "souffler" productif aux élèves

- réviserchez soi : grâce au numérique, les élèves peuventrecommencer chez eux pour s'entraîner de nouveau et pour réviser

- Les élèves sont plus calmes et concentrés face à leur tablette, avec leur casque, que lors d’une activité en classe entière

- Les élèves plus fragiles sont plus confiants et arrivent à identifier plus d’informations que d’habitude grâce aux différents documents proposés et à une meilleure qualité de son

- Les élèves les plus à l’aise peuvent aller plus loin avec des enregistrements supplémentaires et ainsi accroitre davantage leurs connaissances culturelles

- Les élèves peuvent  identifier et retravailler sur les différents obstacles à leur compréhension (manque de vocabulaire, reconnaissance des mots, vitesse, longueur). Ainsi, les élèves gagnent progressivement en autonomie

- Les élèves sont évalués plus justement car ils ont la possibilité de choisir le ou lesdocument(s) sur lequel ils sont évalués

Les élèves, en inventant eux-mêmes des exercices, c'est-à-dire entransposant leurs connaissances à des situations de réflexions dont ilsseraient les auteurs, ont pu changer de posture et ne plus être de simples "consommateurs" d'exerciseurs.

Selon les exercices créés, ils ont mobilisé  des compétences en sciences, en mathématiques et en langue française. Les exercices autour de l'alimentation ont permis aux élèves de s'approprier et de réinvestir le vocabulaire étudié au cours de la classe dé découverte. Lors des exercices sur les nombres, les élèves ont réinvesti leurs compétences sur la numération de position.

Un facteur de motivation supplémentaire étant que les exercicescréés allaient être proposés aux autres élèves de l'école.

Cela a permis de valoriser et d'ancrer leursconnaissances, tout en donnant du sens à leurs apprentissages selon leprocessus de métacognition. Pour les élèves les plus en difficulté, le travail en binômes apermis une démarche dynamique d'échanges, consolidant les connaissances etpermettant l'acquisition de nouvelles.

La mise en place de différents groupes d'élèves au cours du projet ont permis à certains élèves de s'affirmer et prendre confiance en eux.

Ce dispositif permettra ainsi à l'élève de gagner en autonomie face à l'outil "ordinateur" et dans les réalisations des travaux pratiques guidés. En se positionnant en tant qu'acteur , il gagne en concentration avec l'effet "écran" et demande à réussir , là où les exercices écrits restent inachevés.

La possibilité de travailler en binôme permet une émulation et une observation formatrice du travail des élèves.

Au fil des séances,chaque élève a gagné en aisance face à l'outil informatique . Le rituel  en début de séance avec un livret conçu et réalisé en interne, et l'usage des fiches réponse individuelles évaluées à chaque séance ont permis d'instaurer de la rigueur dans le déroulement des séances, permettant ainsi à chacun de progresser à son rythme .

En cette fin d'année. les élèves ont acquis des bases certaines en programmation avec le logiciel SCRATCH et pourront ainsi aborder la programmation avec le langage Python au lycée plus aisément. Ils ont pu programmer des tracés géométriques et des calculs littéraux.

Ils ont utilisé Geogébra pour des tracés de figures , conjecturant des propriétes des transformations mais également pour effectuer des tracés de courbe et résolutions graphiques d'équations à l'aide de l'inspecteur de fonction et son tableur.

Le tableur est au programme des dernières séances des heures numériques et s'appuyera sur les chapitres des statistiques et probabilité.

- Quand il a fallu rédiger le texte, les élèves l’ont d’abord pris sur le ton de laplaisanterie et n’évoquaient que les aspects négatifs du collège. Puis, plus ils  cherchaient des aspects positifs, plus ceux-ci leur paraissaient évidents. Ils se sontpris au jeu et leur image de l’école semble avoir changé.

 - Les élèves, motivés par le projet et par la production finale, acceptent volontiersde revenir sur leur production, jusqu’à ce qu’ils soient satisfaits. Ils amènent enclasse, sur une clef USB, le travail en cours pour le montrer fièrement àl’enseignante. 

- Autonomie favorisée pour les élèves : certains par exemple ont eu l’idée dedécouper les strophes d’écriture poétique pour essayer de les disposer dans unordre différent. Ils envoient leur production via l’ENT lorsqu’ils n’ont pas eu letemps de terminer en classe. Certains demandent du temps supplémentaire pouraméliorer le texte, ou la mise en musique. 

- L’élaboration des barèmes avec les élèves est positive : les élèves y faisaientsouvent référence quand ils rédigeaient leur texte.- Les élèves ont fait des liens entre les matières, et cela a perduré après le projet.

 - L’intérêt des élèves a été vif pour la Marseillaise en Histoire et notammentautour de la question « Peut-on détourner la Marseillaise ? ». 

- La créativité des élèves a été sollicitée, valorisée.

- Développement des compétences relationnelles et sociales : amélioration de la solidarité entre les élèves et entraide en classe et en dehors

- Amélioration des ambiances declasse et du climat scolaire : développement de l'empathie

- Développement des connaissancessur le matériel et le langage utilisé dans les métiers de l’audio-visuel

- Développement des compétences en termesd’utilisation du matériel audio-visuel.

- Apprentissage de l'utilisation d'outils numériques

La production de comptes rendus de lecture vidéo a conduit les élèves :

• à réfléchir à ce qu'ils ont lu et à comment le présenter de manière concise et claire. Cette activité a aidé les élèves à mieux comprendre ce qu'ils ont lu et à l'expliquer à d'autres personnes.
• à penser de manière critique et à analyser les livres qu'ils ont lus. Ils ont dû réfléchir à des questions telles que : Comment je peux résumer ce livre, sans dévoiler la chute de l'histoire ? Qu'est-ce que j'ai aimé, qu'est-ce que je n'ai pas aimé dans ce livre et pourquoi ?  Ces questions ont aidé les élèves à développer leur pensée critique.
• à développer leurs compétences en communication, en particulier en matière d'expression orale et écrite. Ils ont dû être capables de s'exprimer clairement et efficacement, de travailler sur leur diction et leur articulation, et de structurer leurs idées de manière logique et cohérente.
• à renforcer leurs compétences numériques. Ils ont pu utiliser des fonctionnalités de la tablette (photographier, filmer, enregistrer un son) et l'application Book Creator, ce qui les a amené à devenir plus à l'aise avec le numérique.

Enfin, cette activité a permis de valoriser la lecture chez les élèves. En partageant leurs vidéos avec leurs camarades de classe, de l'école, ils ont pu encourager d'autres élèves à lire des livres et à en discuter. Cela a pu susciter un intérêt pour la lecture chez des élèves qui n'étaient pas très enthousiastes auparavant.

– Une réelle motivation pour la production d’écrits : les élèves écrivent pour partager,
– Une réflexion pertinente autour de l’intérêt, de la fonction et des effets du commentaire, dans la rédaction d'articles sur le blog de l'ENT,
– La réalisation d’une charte d’expression d’un commentaire issue d’un véritable besoin exprimé, (donc adhésion naturelle du groupe),
– L’importance de voir son expression personnelle rendue « publique » et ressentie comme digne d’intérêt,
– L’amélioration de la communication orale entre pairs par une écoute véritable,
– La généralisation des échanges au sein même des familles grâce à la diffusion des articles, du vécu et du ressenti partagé.
– Un retour réflexif des élèves sur leurs productions personnelles et collectives en vue de les améliorer sur le fond et sur la forme,
– Le développement des échanges entre pairs pour collaborer avec le réinvestissement du lexique travaillé en classe, tant sur le vocabulaire des émotions que le vocabulaire de l'environnement numérique. 

Dans le cadre de cette action, les classes créent un document au format numérique (traitement detexte, vidéo, diaporama, fichier audio, mur de ressources, livrenumérique…) sur son école et de mutualiser les productions sur lesite de circonscription dans un espace spécifique. Les productionsdes classes pourront alors être consultables par toutes les autresclasses et par les parents.

Effets observés :

• Engagement dans les activités de production
• Motivation accrue dans le cadre de projets
• Meilleure maîtrise des outils numériques : matériels etapplications
• Utilisation de manière pertinente des technologies pourproduire soi-même

- Être de plus en plus à l'aise dans des situations de langage variées

- Améliorer les compétences orales.

-Développer le goût des sciences et technologies.

-S’écouter, écouter les autres, prendre la parole en groupe, nepas se moquer, proposer des astuces pour mieux entendre, se fairecomprendre des autres en ayant confiance malgré les difficultés.

-Mémoriser 1 texte, 1 chanson, 1 phrase, 1 poème.

-Être capable de raconter une histoire lue et travaillée avec l’enseignante.

-S‘enregistrer pour restituer les contenus sur les panneaux derandonnée.

-Joueravec sa voix ( la transformer, les accents, les tessitures…).

-S’exprimerpour expliquer, reformuler, être concis (utilisation des pincesenregistreuses ), lancer des défis ou expliquer sa stratégie (rallye maths, programmation des bluebots ).

- Respecter la nature (utilisation desmicroscopes numériques ).

-Se respecter les uns les autres ( choix, propositions,…).

Les élèves se sont très rapidement familiarisés avecl'application iMotion (disponible sur tablettes iPads) et étaient très engagésdans l'activité, ce qui leur a permis de renforcer leurs acquis.

Ayant, naturellement commencé par « mettre enscène » les lettres contenues dans leurs prénoms, grâce un enseignementannexe sur les gestes graphiques amenant au tracé des lettres (traitshorizontaux, verticaux, cercles, demi-cercles, obliques…), ils se sontprogressivement intéressés aux « autres » lettres de l’alphabet etont su réinvestir leurs connaissances (graphiques principalement) pour filmerla construction de nouvelles lettres.

Les dernières vidéos de lettres réalisées ont été faites demanière pratiquement autonome par les élèves : autant dans l’anticipationdu tracé que dans l’utilisation des fonctionnalités de l’application, ilsn’avaient plus besoin de l’adulte pour finaliser leur travail.

- Réduction des écarts de niveau entre les élèves

- Développement leurconfiance en eux et leur motivation dans les apprentissages

- Amélioration à leur rythme de leur niveau de compréhension orale

- Lien avec les familles sans les mettre en difficulté (niveau en anglais parfois limité)

Coopération entre élèves présentant.

Verbalisation et échanges riches entre projets de classes.

Expliquer

Apprentissages du langage mathématique et informatique.

Questionnements sur les nouvelles technologies, leurs usages, l'éthique.

S'investir dans un projet.

Langage oral : Questionner.

• L'engagement de tous les élèves (différenciation facilitée,adaptation pour les élèves à besoins particuliers)
• Des postures très respectueuses du travail des autres,
• Une concentration accrue et une mémoire de travail mieux mobilisée
• Accepter ses erreurs et recommencer
• Des envies de réitérer les enregistrements
• Une fierté vis-à-vis de la communauté éducative
• Le lien école-famille renforcé par des félicitations notamment

Climat de classe
Les élèves ont été très motivés tout le long de l'année. Ils étaient en situation de coopération, aussi bien en petits groupes (podcast) qu'en groupe classe quand ils travaillaient sur une émission.
Les élèves se sentent responsabilisés, cette expérience les a fait grandir.
Le fait que leurs travaux finaux soient maintenant édités, écoutés et partagés a un effet très bénéfique sur l'estime de soi des élèves.
Les sorties, la venue d'intervenants, les projets de classes ont été investis différemment quand les élèves se projetaient dans la réalisation d'un podcast. (Ils enregistrent, donc sont plus attentifs, posent plus de questions, participent davantage, etc.).
Ils se sont vraiment engagés avec cette nouvelle situation de travail. Un tel projet donne du sens aux apprentissages

Compétences langagières
Les élèves ont beaucoup travaillé l'oral et progressé. Ils font maintenant bien l'effort d'articuler, de parler fort, d'avoir un propos clair et concis.
Ils font la différence entre le langage écrit, le langage oral soutenu et le langage oral courant, car ils utilisent ces registres régulièrement. Ils ont plaisir à utiliser à bon escient dans un contexte qui s'y prête, des expressions soutenues qu'ils ont entendues.
Ils utilisent les enregistreurs pour réécouter leur production en vue de s'améliorer.
Les élèves sont de bien meilleurs lecteurs, les plus faibles ont gagné en assurance

EMC / EMI
Les élèves ont pris conscience qu'un sujet va être traité différemment quand on le confie à deux groupes d'élèves. Nous avons pu aborder des questions cruciales d'opinion des rédacteurs, de choix des extraits sonores et de l'importance de citer ses sources.
Le sujet des reportages était aussi en soi une source d'apprentissage que le projet radio a rendu bien plus prégnant : le harcèlement, les espaces naturels sensibles, le permis Internet, la liaison 6ème, égalité filles-garçons,  notamment. Les élèves étaient en situation d'expliquer des notions et de transmettre des contenus.

constat: Il est parfois difficile de faire travailler les élèves en groupe où chacun trouve sa place.
effet: Le logiciel BookCreator permet une mutualisation facilement accessible des travaux. Les élèves ont lu le travail de leurs camarades, ont collaboré entre pairs pour améliorer leur travail, leurs écrits se sont enrichis de l'inspiration des camarades.

constat: Les élèves en difficulté investissent peu l'écrit
effet: L'ergonomie de Book Creator, le format textes courts, l'enregistrement des textes a permis aux élèves à besoin particuliers de s'investir dans le projet.

constat: Produire un livre est un travail fastidieux faisant appel à de nombreuses compétences
effet: Le support numérique permet de valoriser des productions, permet un travail de réécriture plus facile

Constat: Les élèves ont du mal à distinguer les différents registres de langue et dissocier le langage l'oral de l'écrit.
Effet: La radio oblige a un travail de rigueur sur ce que l'on va dire, durée, ton, vocabulaire.

Constat : Les élèves éprouvent des difficultés en production d'écrit.
Effet : L'écriture des capsules radio est un travail complet qui demande l'emploi de connecteurs, de donner de la cohérence à son récit la ponctuation aide pour les respirations, l'écrit prend du sens pour les élèves.

Constat: Certains élèves sont en grande difficulté dans les exercices habituels de l'école.
Effet: La radio permet une égalité des chances en donnant à chacun la possibilité d'expérimenter les 3 rôles (technicien, animateur, intervenant) et valorise le travail de chacun

Constat: La radio est un média peu écouté et peu valorisé
Effet : De nombreux élèves se sont passionnés pour la création de contenus multimédias, ont écouté des émissions pour en saisir les codes.

L’outil nouveau et ludique pour eux les intéresse et les incite à parler : ils adorent s’écouter. Des petits parleurs participent vraiment activement à ces séances, ce qui de plus leur donne confiance en eux (pour cette classe cela a fonctionné pour au moins  six élèves).

Les enfants sont capables d’entendre une syntaxe ou un mot inadapté en écoutant l’autre (la syntaxe est comprise en écoute avant d’être capable de la produire). 

Les enfants apprennent à s’écouter, à être tolérant et à s’entraider : on aide l’autre avec ses connaissances et en aidant on progresse également.

L'écoute de leur propre production leur permet parfois de se rendre compte que leur discours est incompréhensible. De même, les élèves comprennent l’intérêt d’articuler et de parler fort pour être compris des autres.

• L'aspect "Voyage" bien que virtuel permet aux élèves de s'engager pleinement dans le projet.
• La construction de l'espace grâce aux vidéos aériennes  et à la recherche sur Edugéo permettent de construire des repères solides.
• Les redondances du protocole à chaque étape du voyage aide à l'acquisition et l'ancrage des compétences.
• L'acquisition du vocabulaire est effective.
• Les élèves plébiscitent cette approche ludique qui, d'après eux, leur permet de "bien apprendre".

- Les démarches proposées et les outils numériques mobilisés permettent une meilleure mémorisation

- Individualisation des parcours : l’élève peut avancer à son rythme et réviser quand il le souhaite

- L'autonomie des élèves est développée et ils s'impliquent de manière plus active dans leurs apprentissages

- Les rétro-actions immédiates qui peuvent être données par les outils numériques invitent les élèves à l'auto-évaluation et favorisent leur sentiment d'efficacité personnelle

- Les outils numériques permettent de soutenir et renouveler l'attention des élèves et renforcent leur motivation

- La motivationet la mise au travail de tous les élèves

- La collaboration

- La différenciation pédagogique, aussi bien pour les élèves plus rapides qui ont toujours du travail à faire que pour les élèves plus lents qui peuvent travailler à leur rythme et obtenir de l’aide de leurs pairs

- Utilisation d’un document Genially qui permet aux élèves de retrouver tous les documents de la séquence au même endroit (pas de perte de document, facilité de retrouver les documents pour les élèves absents)

- Remobilisation des connaissances globales de la notion traitée pendant la séquence

- Approfondissement des connaissances

- Remobilisation d'outils linguistiques au service de la tâche finale

- Plus grande adhésion des élèves au projet lié à la tâche finale

- Motivation et plaisir

- Meilleure estime de soi

- Autonomie

- Esprit de compétition / émulation

- L’applicationconcrète et pratique, avec l’objectif du voyage en vue, a donné du sens auxapprentissages de la séquence et aux travaux réalisés

- L'expérience de la webradio et le« studio d'enregistrement » donnent une dimension plusauthentique et solennelle à la production orale, parfois intimidante mais aussigalvanisante

- Letravail sur les différents formats multimédia permet de sensibiliser les élèves au droit àl’image et au son, à la propriété intellectuelle, à la fois concernant lesfichiers qu’ils utilisent pour créer des contenus et concernantl’enregistrement de leurs voix et l’utilisation de photos d’eux

- Les élèves sont au cœur du projet depuis le début : ils décident de toutes les étapes et de tout le contenu du "yearbook", ainsi ils sont tous impliqués dans le projet et se sentent valorisés par la création du contenu

- L’utilisation du numérique et le travail en groupe permettent aux élèves de gagner progressivement en autonomie et ils sollicitent moins le professeur

- Grâce au numérique (utilisation des tablettes), les élèves peuvent avancer à leur rythme et se concentrent davantage sur les tâches proposées. S'ils le souhaitent, les élèves peuvent travailler sur le projet en hors de la classe

- Meilleure implication des élèves dans la production

- Bonne mémorisation générale du lexique

- Acquisition d’une certaine aisance dans la présentation des étapes du projet (appui sur des structures mémorisées)

- Entraide

Les élèves ont retenu les éléments définissant une information. Ils ont appris à analyser une image ou une information afin d'essayer de la décrypter.

Ils ont appris le vocabulaire lié à la description d'image et à l'édition journalistique.

les élèves ont utilisé et manipulé des outils numériques sur ordinateurs ou tablettes pour produire et partager des supports à plusieurs sens : photomontage, faux articles

Il s'agit de co-construire une vision suffisamment exhaustive autour d'une controverse.

Il faut accepter d'entendre des avis opposés à ses propres opinions, résultant du travail de recherche des autres membres du groupe.

Pour que la carte soit suffisamment représentative d'un état de la société autour de la controverse, cela implique à chaque membre du groupe de s'impliquer à la hauteur des attentes du groupe pour répondre au questionnement.

Chaque élève doit être capable d'apporter les arguments pour défendre le positionnement de son acteur. Il se créé ainsi une légitimité, une expertise sur l'acteur dont il s'est vu confié les recherches. Cela permet aussi aux élèves d'aborder un débat avec l'ensemble des éléments d'opinion de la société civile. Cela impose de savoir écouter les opinions divergentes des siennes.

L'élève prend aussi conscience que plusieurs angles de vue sont nécessaires pour se forger une expertise sur un acteur de la société, et que la lecture d'un seul article, le visionnage d'une seule source n'apportent pas l'ensemble des informations.

Il y a un aspect collaboratif fortement apprécié, du soutien mutuel dans la co-construction, et une fierté à construire cette image un peu plus complexe sur un fait de société, que ce que l'on pouvait imaginer en balayant rapidement l'information, ou en se contentant des "on dit'.

La partie créative finale est particulièrement motivante, car elle se repose majoritairement sur la créativité des élèves; l'enseignant est ici force de proposition de solution mais d'impose rien.

Bonneimplication dans les activités proposées.
Meilleure maîtrise des outils de création multimédia.
Lecture plus approfondie des documents.
Développement de l’esprit critique.

- des élèves motivés par des activités qui donnent du sens aux apprentissages

- participation plus active des élèves en difficultés dans les apprentissages scolaires classiques

- investissement important des élèves sur les phases de rédaction des scénarios

-  participation d'un maximum d'élèves au tournage

-le projet est moteur, fédérateur: Cette année, j'ai pu constater un effet groupe. Même les élèves non retenus pour être acteurs ne se sont pas désinvestis. Chacun a su trouver une place: perchman pour la  prise de son, cameraman, décorateur. Tous ont eu un rôle dans la fabrication du film.

Avant ce projet, environ 95% des élèves prenaient pour réelles les images rencontrées sur le net. Les élèves sont sensibilisés sur la cohérence des images rencontrées. Ils ont maintenant un esprit critique quand à la véracité d'une information donnée par une image. Ils savent qu'il y a des outils qui permettent de vérifier la provenance d'image (Tineye) et les déformations possibles. Le droit à l'image est une notion maintenant appréhendée par les élèves.

Ils sont maintenant capables dans des cas simples de vérifier la véracité d'une image et de l'analyser.

Ils peuvent aussi dans leurs recherches savoir que les sites d'informations officiels sont souvent des sources fiables car le travail d'un journaliste est d'abord de vérifier l'information qu'il diffuse et qu'ils doivent être vigilants face aux informations disponibles sur internet.

Avec l'étude d'oeuvres, ils ont pu se rendre compte que la construction d'une image n'était pas spontanée comme ils le croyaient souvent mais qu'elles faisaient l'objet de véritables mises en scène.

L'utilisation d'un logiciel de traitement de photo leur a permis de réaliser une image détournée ils se sont rendu compte à quel point il était facile de produire et donc de rencontrer de fausses images.

La création d'une histoire inventée de toute pièce avec le portrait d'un personnage célèbre avec le travail de création du mini livre et du photo montage puis la mise en relation avec la vrai identité leur a permis de se rendre compte que la création d'un faux contenu était facile.

constat : Les élèves sont passifs devant les objets technologiques qui les entourent
effet : Les élèves ont envie de comprendre comment le robot fonctionne, puis comment on peut lui faire faire ce que l'on a décidé.

constat : devant un problème certains élèves renoncent
effet : l'aspect ludique du Thymio crée une émulation chez les élèves qui ont envie de réussir les défis (éviter un obstacle, faire demi-tour, suivre un autre robot...)

constat : sur des projets d'écriture les élèves à besoins particuliers se retrouvent en difficulté
effet : l'écriture sous forme de scenario cinéma a permis à chacun de s'exprimer, de créer et de mettre en action